Wednesday 23 July 2014

A great review for The River on "KOID9" Magazine



On a déjà pléthore de nouvogroupitaliens chaque trimestre, vl'a t'y pas qu'on a aussi
des multinstrumentistitaliens par-dessus le marché maintenant ! Blague à part, le sieur
Marrco De Angelis n'est pas un débutant, alignant un CV long comme un jour sans pain
où il a notamment bossé depuis 15 ans comme ingénieur du son et producteur.
Il possède aussi son propre studio d'enregistrement et est capable de jouer de
la guitare, des claviers, de la basse et même du Chapman stick ! C'est toutefois la
première fois qu'il se lance dans l'exercice du disque avec ce concept de 68' sur la dualité
de la vie titré "The River : Both Sides Of The Story". Il fait tout ou presque puisqu'il a eu
l'intelligence de confier les deux postes clefs que sont le chant à Marcello Catalano et la
batterie à Cristiano Micallizzi et de s'adjoindre pas moins de 4 choristes féminines.
Dès l'introduction (après 1' de bruitages radiophoniques déjà archi entendus par
ailleurs), on est happé par un son superbe (encore bravo !) et par cette approche d'un
prog-rock très moderne. On est souvent plus proche d'un Pink Flloyd, Allan Parsons Project
ou Peter Gabriel solo que d'un Genesis, si vous voyez ce que je veux direl Le chant
(anglais) est absolument sublime, puissant et clair. La batterie ne souffre d'aucun problème
de programmations ou d'amateurisme, ce qui nous change des multi instrumentistes
solitaires en général peu soigneux sur ce point. Le disque est une sorte de mélange
assez réussi entre prog dynamique avec le superbe titre d'ouverture "Tell Me Why", néoprog
"Black Stare", morceaux franchement réminiscents de la bande à Gilmour (le
toucher de guitare et le son est strictement identiquel il a du tomber dedans quand il
était petit !) "Regrets", "Take It Away" (qu'on croirait tiré d'un Floyd avec le père Waters au
chant), " Fly High" (même le titre fait référence au Floyd), voire de Neall Morrse
avec le magnifique titre conclusif "Our Trail of Tears" et morceaux nettement plus typés
pop-rock comme "One Love", "This Time" ou encore "Snowbound" (rien à voir avec
Genesisl malheureusement !).
Alors c'est sûr que certains vont trouver ça un peu trop "sucré" et manquant de
"progressivité", mais je dois dire que j'ai personnellement trouvé le mélange
extrêmement bien dosé, même s'il est tout de même dommage d'avoir une structure
bicéphale et que l'artiste n'ait pas choisi de prendre plus de risque. Les parties de guitare
sont cependant sublimes de bout en bout (il faut dire que le gus a touché son premier
instrument à l'âge de 1 0 ans !). J'ai toutefois trouvé que ça manquait un peu de Chapman
Stick il y en a mais il n'est pas franchement mis en valeur car il est un des rares joueurs
de cet instrument en Italie. Le 12e titre, un bonus, le plus long titre de l'album (9:21 ) est
en réalité un ancien morceau de son tout premier groupe des années 80, réarrangé et
avec des paroles retouchées. Le style est légèrement plus pop, pas désagréable, mais
sa soit disant longue durée ne se justifie pas: en fait il dure juste 6' et, après 1'15 de
silence, on entend des bruitages radio et un speech en anglais d'un musicien qui remercie
lors d'une remise de prix en parlant de sa découverte de la musique dans sa jeunesse
(est ce l'artiste ? je dirais que oui... mais le mystère reste entier !). A noter un livret de
qualité sur du papier à fort grammage (c'est assez rare pour le souligner) contenant
toutes les paroles et quelques jolies photos.
Je conseille toutefois d'écouter avant d'acheterl
Renaud Oualid
Here it is, a new review for The River on Big Bang Magazine.


Bien que ce The River - Both sides of the story soit son premier opus, Marco De Angelis n'est pas un musicien nèpphyte, bien au contraire mème puisqu' il est un ingènieur du son rèputè de l'aure cotèdes Alpes. Mais aprés de nombreuses années passées derrière ses consoles, il a eu envie de s'incarner pour passer de l'autre coté du miroir et done de mettre à profit ses qualités de multi-instrumentiste.
particuliéremente actif et enclin à faire entendre sa musique aux quatre coins du monde progressif, De Angelis a concocté un album à la production étincelante et dont la teneur générale renvoie bizarrement davantage à l'Angleterre qu'à l'Italie.
The River est en effet une oeuvre soignée qui s'inscrit prioritairement dans la démarche floydienne de Roger Waters, mais qui s'avére simultanément soucieuse de se parer d'ambiances et de mélodies facilment identifiables. C'est cette volonté, que certains pourront trouver réductrice, qui favorice au contraire l'affection que l'on porte a cette musique sans artifice ni prétenction.
Ce concept-album, porté par le chant élégant de Marcello Catalano et ses vwlléités pop-prog est une oeuvre aux atours clair-obscur, comme si RPWL, Tears For Fear, Peter Gabriel (pour les touches world-music) et done Pink Floyd (au final, tout autant celui de The Wall que de The Division Bell, notamment puor la guitare 'gilmourienne')unissaient leur personnalité en un syncrétisme des plus festifs.
Les 11 morceaux de The River, souvent reliés entre eux, révélent ainsi des arrangements soignés et une volonté de faire glisser leurs développements sans se soucier du dogme progressif.
Vu le talent flagrant de Marco De Angelis, on ne manquera pas au final de regretter ces références par trop identifiables, mais le corollaire de ce regret est bien sur la certitude de voir germer dans la futur un album débarassé de ces scories.

Olivier Pelletant

Wednesday 16 July 2014

"Regrets" on Downtown Radio




Marco De Angelis is an Italian sound engineer, producer and multi-instrumentalist that has been recording songs ranging between cross-over prog, classic rock with hints of pop music for years. It took me a while before writing about his debut album, The River: Both Sides Of The Story, and the first thing I thought after my first listening of it was that this is a tricky album to listen to: If you're expecting a classic prog rock album, well, you’ll probably think "crap". It happened to me. But I played it again and again and, yes, the music is actually quite good. The River: Both Sides Of The Story has numerous prog rock moments but for sure it doesn't fall in this music genre.
The River: Both Sides Of The Story is a concept album that, as the title itself suggests, deals with the duality of life: good and bad, male and female, night and day, and so on. De Angelis played the main part of the instruments on this album and special guests of the record are the drummer Cristiano Micalizzi and the singer Marcello Catalano. Their contribution is notable and together the three artists created an album that is well performed – I particularly appreciate the electric guitar parts.
My overall opinion about The River: Both Sides Of The Story is that it’s for sure a nice and enjoyable début album but due to the lack of a profound sound it didn't conquer me. I liked the prog rock moments that are mixed so often with the several pop oriented tracks.
The album kicks off with 'Tell Me Why' and you are already into the music world of the Italian artist. The blend of prog and pop is evident and constant throughout the eleven movements of the album. From the first tracks the artist and his band show to have full potential to compose some good progressive rock. And, in my opinion, that’s the direction they should look at. ‘Never Look Back’, ‘What Do you Feel Now?’ and ‘Take It Away’ are the proff of what I’m saying.
Their execution is perfect and they demonstrate the ability the artist has in the prog rock sound. Music loses its complexity and deeper sound in songs like ‘Fly High’ that passes without leaving a mark and if you are looking for a more complex music, this is not the right album for you.
The River: Both Sides Of The Story contains nice melodies, great instrumental passages and lots of twists and turns. The combination of the instruments with the voice voices of Marcello Catalano adds an extra dimension to the music. For sure the album demonstrates the fact that Marco De Angelis has the talent to do something more and even better.
What can we do? let’s keep an eye on him!

Saturday 12 July 2014

A very nice 78 mins long radio special featuring "The River"

Friday 11 July 2014



A new review for The River - Both sides of the story on HIGHLANDS MAGAZINE
Thanks to Didier Gonzalez

THE RIVER est le premier projet musical du producteur et compositeur italien Marco DE ANGELIS. Celui ci évolue cependant depuis 15 ans dans la musique en tant que producteur indépendant et compositeur. Il a notamment composé pour le cinéma et la publicité Avec THE RIVER, Il joue pratiquement de tous les instruments (guitares, stick, basse, claviers... Seul Cristiano MICALIZZI vient lui porter main forte à la batterie. Pour le chant, il a fait appel à son ami Marcello CATALANO. Celui ci chante en anglais de fort belle manière. Il a un timbre proche de celui de Paul CARRACK et une palette vocale assez large. Il est soutenu par un quintet choral féminin dénommé VOCINTRANSITO. Le concept de cet album parle de la dualité dans l’ensemble que ce soit le bien et le mal, la vie et la mort ou l'homme et la femme. L'album, de 68 minutes comprend 10 titres + 1 bonus.
Après une courte introduction composée d'un extrait radio, les premiers riffs de Tell
Me Why (5'21) titre assez rock des années 80 accompagnés de choleurs apparaissent. Le chant est clair. Les vocaux dominent d'ailleurs ce morceau. Quelques gouttes de pluie et notes de piano lancent Black Stare (5'04). La musique monte doucement avec l'arrivée du chant. Les sonorités de synthétiseurs et le chant font penser à du Peter Gabriel mêlé à un refrain plus FM. Le chant revient pour le final ainsi qu'un solo de guitare. Les sonorités se font plus pop-rock sur One Love (5'04) entre le GENESIS des dernières années et MIKE AND THE MECHANICS. Quelques digressions instrumentales nous sont proposées De nouveaux bruitages et une guitare acoustique démarre Snowbound (4'47). La voix claire de Marcello CATALANO vient se poser accompagnée de quelques cordes. Le refrain est encore très FM. Un petit solo de guitare termine le morceau. Never Look Back (4'26) repart sur des allures rock FM avec les choeurs de VOCINTRANSITO. La guitare prend des allures plus bluesy.
L'apparition d'une section de cuivre créée aux claviers sur This Time (6'31) ainsi que la section rythmique et le chant de Marcello CATALANO donnent à nouveau des allures plus que Gabrieliennes et world à ce titre. Il est cependant entrecoupé de plans floydiens. De nouveaux extraits de radio lancent Regrets (7'51) qui débute par un piano et un chant limpide. La musique prend ensuite plus d'ampleur et Marco DE ANGELIS se lance dans un solo gilmourien accompagné des choeurs. Les claviers sont assez symphoniques. Take It Away (6'28) propose un cross over entre MIKE AND THE MECHANICS et le PINK FLOYD des années 80 avec toutefois une rythmique plus chaloupée. What Do You Feel Now (6'12) débute par des synthétiseurs très présents et une guitare très planante. L'ambiance est ultra floydienne et sombre. Fly High (6'40) est beaucoup plus léger et aérien que son prédécesseur. Le titre bonus proposé se nomme Our Trail Of Tears. Celui-ci met superbement en valeur le chant de Marcello CATALANO mais aussi tous les instruments. Marco DE ANGELIS fait ici preuve de ses talents de producteurs qui sont indéniables. Le son est puissant et clair. Les compositions sont solides mais sans surprises et un peu trop easylistening. Elles sont surtout bourrées de références un peu trop évidentes.
13/20 Jean-Noël DE CASTILLO